Du tabac froid dans le cendrier et une tasse pleine de café. Quelques notes sur un piano, au crépuscule de minuit. Prendre une feuille et n’écrire qu’un nom. Voilà l’apothéose d’une conscience méritée. N’apercevoir que le même personnage livres après livres et allumer le chauffage pour avoir chaud. Senteur de barbe à papa et de spéculoos, rien d’étrange, se sont toutes des sensations apaisantes. Prendre un bain sur un tapis de bougies et connaître ce parfum. Fermer les yeux et sentir le plancher qui craque. Le voilà qu’il arrive, l’heure d’aller se blottir et n’attendre qu’un croissant au petit matin.